Guillaume Apollinaire

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J’ai enfin le droit de saluer
des êtres que je ne connais pas.
Ils passent devant moi et s’accumulent au loin.
Tandis que tout ce que j’en vois m’est inconnu.
Et leur espoir n’est pas moins fort que le mien.
Je ne chante pas ce monde ni les autres astres.
Je chante toutes les possibilités de moi-même hors
de ce monde et des astres.
Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en mourir.
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Guillaume Apollinaire
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